Selon Katy dans
son article Accommodating the exceptional learner in French Immersion, nos
croyances influencent notre communication avec les élèves, si nous ne croyons
pas qu’un élève puisse réussir nous dévouons moins d’énergie en adaptant nos
leçons. Pour adapter nos leçons d’une façon facile, elle suggère que nous
posions des questions après avoir reçu une réponse d’un élève. Une autre
suggestion-utiliser plus d’un savoir linguistique-l’écoute et l’oral par
exemple. Des activités kinesthésiques appuieront beaucoup d’élèves aussi. Je
suis d’accord avec Katy-je pense que la majorité des élèves avec une
intelligence moyenne peuvent réussir en immersion.
Je pense qu’il
faut aussi considérer les conséquences de nos recommandations. Par exemple, si
nous recommandons qu’un élève sort de l’immersion-quel message donnons-nous à l’élève ?
Est-ce un vrai message ? Il pourrait avoir des résultats plus répandus que
nos salles de classe. Au Nouveau Brunswick, par exemple, le gouvernement
voulait annuler le programme de l’immersion parce que les élèves en difficulté
se trouvaient juste dans les classes d’anglais ce qui créait un déséquilibre
entre classes et enseignants. Maintenant, le gouvernement de NB commence l’immersion
en 3e année-alors rejeter les élèves en difficulté avait une
conséquence d’une perte de 3 ans (maternelle à la 2e année) d’études
françaises dans notre province bilingue.
De l’autre côté
de la médaille, les enseignants de l’immersion ont besoin du même appui que les
classes en anglais pour bien réussir-les assistants par exemple.