Monday 10 December 2012

Accommodating in Immersion


Selon Katy dans son article Accommodating the exceptional learner in French Immersion, nos croyances influencent notre communication avec les élèves, si nous ne croyons pas qu’un élève puisse réussir nous dévouons moins d’énergie en adaptant nos leçons. Pour adapter nos leçons d’une façon facile, elle suggère que nous posions des questions après avoir reçu une réponse d’un élève. Une autre suggestion-utiliser plus d’un savoir linguistique-l’écoute et l’oral par exemple. Des activités kinesthésiques appuieront beaucoup d’élèves aussi. Je suis d’accord avec Katy-je pense que la majorité des élèves avec une intelligence moyenne peuvent réussir en immersion.

Je pense qu’il faut aussi considérer les conséquences de nos recommandations. Par exemple, si nous recommandons qu’un élève sort de l’immersion-quel message donnons-nous à l’élève ? Est-ce un vrai message ? Il pourrait avoir des résultats plus répandus que nos salles de classe. Au Nouveau Brunswick, par exemple, le gouvernement voulait annuler le programme de l’immersion parce que les élèves en difficulté se trouvaient juste dans les classes d’anglais ce qui créait un déséquilibre entre classes et enseignants. Maintenant, le gouvernement de NB commence l’immersion en 3e année-alors rejeter les élèves en difficulté avait une conséquence d’une perte de 3 ans (maternelle à la 2e année) d’études françaises dans notre province bilingue.

De l’autre côté de la médaille, les enseignants de l’immersion ont besoin du même appui que les classes en anglais pour bien réussir-les assistants par exemple.

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